Ce clocher est le dernier vestige du premier château qui fut construitsà Lahitte et qui fut presque détruit par les guerres de Religion. Une église y fut accolée vers 1860. L’ouvrage présente un plan carré. Les fondations reposent sur un escarpement rocheux. Deux portes furent percées au pied de la tour pour permettre l’accès à…
L’existence de cette église est en relation probable avec la présence des anciens archevêques d’Auch, propriétaires au Moyen Age du château féodal de Lamaguère. Deux chrismes ornent le tympan des deux portes d’entrée. La nef monte plus haut qu’à l’ordinaire dans la région et s’allonge plus qu’elle ne le fait dans les églises romanes gersoises.…
Il est fréquent, dans le Gers, de voir une église rurale bâtie près d’une motte féodale. Les empatements de mur à l’est et au nord rendent encore visibles les parties romanes de l’église. L’édifice roman devait être voûté en berceau. Une des chapelles daterait de 1665. Selon les croyances locales, la motte féodale à proximité…
Façade en pans de bois bien conservée, abritée par un grand toit[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture. References[+] ↑1 data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture
Eglise rurale entourée de son cimetière, présentant toutes les caractéristiques propres au Gers. Nef unique prolongée par un chevet à pans coupés étayés de contreforts. Emban protégeant l’entrée. Clocher carré en bois[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture. References[+] ↑1 data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture
Dernier vestige de l’ancien château fort de la famille de Galard de Magnas, totalement détruit, la tour présente trois pans de murs dérasés portant, dans l’angle sud-ouest, une échauguette également dérasée. Ce vestige devait faire partie d’une défense avancée du château[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture. References[+] ↑1 data.culture.gouv.fr la…
Collégiale construite vers 1785 par l’architecte Raymond, élève de Soufflot, dans un style très classique, à la demande du curé André Bacon, appuyé par l’archevêque de Toulouse. Plan en croix latine avec un choeur important. Construction en briques. La voûte en berceau rappelle l’influence de l’art italien. Le clocher constituait le donjon de l’ancien château…
La halle s’élève à l’emplacement de l’ancien couvent des Tertiaires. Elle présente un plan rectangulaire. Les piles extérieures sont liées par une série d’arcs. A l’intérieur, les colonnes portent directement la charpente. Des pilastres montent à chaque pilier jusque sous la toiture[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture. References[+] ↑1 data.culture.gouv.fr…
Le plan de l’édifice est caractéristique du 18e siècle. Le corps principal est percé de douze fenêtres. Au centre, grande porte-fenêtre en plein cintre, surmontée d’un fronton triangulaire. L’accès à l’étage se fait par un escalier monumental orné d’une rampe en fer forgé. Sous cet escalier s’ouvre un passage voûté donnant accès au rez-de-chaussée où…
Chapelle rurale composée d’une nef unique, terminée par un chevet plat. Clocher-mur d’une seule arcade. La porte s’ouvre au sud, comme c’est presque toujours le cas dans l’architecture religieuse populaire du Gers. La porte est précédée d’un emban gascon, clos d’un mur montant jusqu’au toit à l’ouest, et d’un mur bas au sud. C’est là…