Cette maison est un haut lieu de la chouannerie normande. C’est une demeure en granit carrée et trapue, à caractère défensif. Des bouches à feu sont encore visibles dans les contre-marches de l’escalier. A l’intérieur, un escalier droit en granit taillé avec un mur d’échiffre, occupe le centre de la maison. De part et d’autre…
L’église est composée de deux parties mal raccordées. Une tour massive à plusieurs étages est percée de baies géminées romanes. La tour et le choeur ont été bâtis en une seule fois. La nef doit être une construction antérieure, car à la jonction des deux parties, l’entrait de la dernière travée a été scié et…
L’édifice comprend une nef simple, un transept saillant dont les deux bras sont prolongés vers le choeur par une chapelle et un chevet plat. Une tour carrée s’élève à la croisée du transept, surmontée d’un clocher à petites ouvertures. La partie la plus ancienne est la façade occidentale, avec son porche, seul élément subsistant de…
Construction typique du Domfrontais, avec un corps de logis (1646) en granit, flanqué de deux ailes basses formant quadrilatère autour d’une cour d’honneur, le tout fermé par un portail et deux pavillons carrés reliés par un mur. La façade arrière du logis a été remaniée au 19e siècle, ainsi que l’intérieur. Les deux tourelles d’angle…
Le château remplace une ancienne forteresse médiévale dont il a utilisé l’implantation. Cette place-forte joua un rôle important dans la première moitié de la guerre de Cent ans, à l’époque où les troupes françaises s’opposaient aux effectifs anglo-navarrais. Au 17e siècle, la forteresse est remplacée par un ensemble composé d’un logis et de pavillons symétriques.…
L’origine de l’édifice semble remonter au 15e siècle. A l’intérieur, un arc triomphal ogival sépare la nef du choeur. La voûte est en bois avec entraits et poinçons, chaque douve étant accusée par des ornements tracés en noir au pinceau. Une petite flèche surmonte la toiture[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la…
Après comparaison des cartes des 17e et 18e siècles, il semble que ces bornes ne soient pas antérieures à la réformation de la forêt réalisée par l’ingénieur Chaillou en 1772. Il s’agit d’une forme de signalisation archaïque. Chaque borne porte, gravée dans la pierre, le nom des carrefours et la direction des routes.£La seconde moitié…
Après comparaison des cartes des 17e et 18e siècles, il semble que ces bornes ne soient pas antérieures à la réformation de la forêt réalisée par l’ingénieur Chaillou en 1772. Il s’agit d’une forme de signalisation archaïque. Chaque borne porte, gravée dans la pierre, le nom des carrefours et la direction des routes.£La seconde moitié…
