Le fief de Béruges relevait de la châtellenie de Montreuil-Bonnin. Le château est mentionné dès 1124. La tour, dite tour de Guyenne, fut prise d’assaut par saint Louis en 1242, lors de son combat contre Hugues X de Lusignan, comte de la Marche, allié à Henri III. L’ouvrage fut détruit. Cette tour devait servir de…
Chef-lieu d’une viguerie au 10e siècle puis d’une châtellenie relevant du comte de Poitou au ressort de la sénéchaussée et de l’élection de Poitiers, Gençay est une place de commerce très active dès le Moyen-âge. Cette demeure du 15e siècle a été modifiée au cours des siècles et notamment au 19e. Le plan rectangulaire est…
Tumulus de 45 mètres de diamètre pour une hauteur conservée de 1, 50 mètre, situé en bordure de la voie romaine qui menait de Poitiers à Tours[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture. References[+] ↑1 data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture
Cet ancien fief de haute justice, relevant du château de Marigny-Chêmerault, est cité dès 1489. Le corps de logis se trouve en fond de cour délimitée, à l’est et à l’ouest, par des bâtiments à caractère agricole. Le mur de clôture au sud s’ouvre par un portail orné d’un gâble en accolade, décoré de choux…
Divisé entre plusieurs familles, le château perdit peu à peu la cohérence de son organisation autour d’une cour. Il reste une grange de vaste proportion et un logis noble de plan en L avec une tour hexagonale dans l’angle, abritant un escalier en vis. L’ensemble offre un aspect relativement restauré avec baies à meneaux restaurées…
Château représentatif du Second Empire, édifié en 1855 par l’architecture Lubac, ferme modèle en 1874. Bâti en tuffeau dans un style évoquant la Renaissance, le plan rectangulaire est cantonné de quatre tourelles d’angles. Une importante sculpture orne les élévations, surtout à l’ouest. Le décor sculpté est fait de rinceaux, palmes, coquilles, têtes, masques, fruits, animaux……
L’origine du domaine remonte au 13e siècle. En 1515, il est acheté par François Ardoin à l’abbaye de Fontaine-le-Comte avec la promesse de restaurer les bâtiments ruinés. Par la suite, la propriété est étendue au fil du temps par les différents propriétaires. La construction du logis peut être datée de 1640-1686. Entre 1920 et 1925,…