En 1850, il existe déjà deux édifices religieux : l’église Saint-Sauveur (18e siècle) et le temple Saint-Jacques (1802). Les paroisses catholiques et protestantes décident de construire de nouveaux lieux de culte en même temps. Le temple neuf néoclassique est construit un peu à l’écart du centre ancien par l’architecte toulousain Alexandre Laffon[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de…
Situé entre Toulouse et Castres, Puylaurens a joué un rôle primordial dans l’histoire du protestantisme aux 16e et au 17e siècles grâce à son rôle de place forte, essentiel durant les guerres de Religion. La ville accueille l’académie de théologie protestante chassée de Montauban et devient un foyer intellectuel[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du…
C’est un temple urbain par excellence, de forme simple, le quadrangle rectangle pour reprendre Bernard Reymond. C’est un des plus grands temples de France. Un premier temple a été construit vers 1801. Puis le temple a été reconstruit au moment où la communauté rachète l’ancien château dont les pierres ont sans doute servi à la…
C’est en 1803 que fut créée l’église protestante de la ville qui auparavant était annexe du consistoire de Montauban. Le premier temple de Barry d’Islemade, construit en terre, peu de temps après la Révolution, menace ruine au milieu du 19e siècle. Sa reconstruction est alors envisagée en 1857. L’intérieur conserve une grande tribune en bois…
En 1779, un bienfaiteur a construit un bâtiment pour la communauté, une sorte de grange aménagée. En 1875, le conseil presbytéral de Caussade entreprend la construction d’un nouveau temple. En 1873, un terrain est acheté et un projet est dressé par l’architecte diocésain[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture. References[+] ↑1…
Le projet début en 1920 et le paiement des factures s’échelonne jusqu’en 1927. L’édifice présente un plan basilical avec un petit porche surélevé. L’intérieur est sobre et majestueux. Daures s’est peut-être inspiré du temple des Brotteaux de Lyon, oeuvre de Gaspard André. Tout le mobilier en bois est en place[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes…
C’est un petit temple de montagne, peu visible dans le hameau. Il est précédé d’un petit enclos, peu courant, et évoque les temples de l’Ecosse calviniste presbytérienne qui sont beaucoup plus anciens. Une calade traverse le jardinet jusqu’à l’entrée. Le clocher a été ajouté dans un second temps[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère…
Le temple est construit à partir de 1855 et inauguré en 1857. Il joue un rôle dans le mouvement intellectuel et scientifique de l’époque. Il se trouve légèrement à l’extérieur de la ville[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture. References[+] ↑1 data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la…
Pour Sainte-Dode, on sait seulement que le 25 octobre 1899 un arrêté préfectoral autorise le pasteur évangéliste Edmond Huc à construire un temple. Le linteau de la porte sud donnant sur la route porte d’ailleurs la date de 1900. On ne connaît pas de nom d’architecte ni de maître d’oeuvre. Le temple a été désaffecté…
Ce bâtiment est bien documenté par les archives nationales, départementales et municipales (série M) communiquées par Bernard Atger, président de l’association du patrimoine gallagois. Le temple construit sur l’ancien château domine le village et jouxte la tour médiévale classée au titre des Monuments qui faisait partie du château. Le projet est fourni par Yzombard, arhcitecte…
