Le pont se trouve sur l’une des routes des chemins de Saint-Jacques de Compostelle (route de Bayonne, Bidart, Ahetze, Ibarron, Sare, Dancharia, Elizondo, Pampelune…)[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture. References[+] ↑1 data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture
Ce sanctuaire est l’un des plus anciens de Saint-Jean-le-Vieux. Il était une halte importante du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. Les pèlerins y passaient la rivière à gué ou rejoignaient Saint-Jean-Pied-de-Port par la Madeleine. En 1243, Pierre Sanche d’Urrutia fit don de la chaplle à l’abbaye de Roncevaux. Quatre murs percés de meurtrières déterminent un rectangle. Le…
Le rempart de la Ville Haute remonte aux 14e et 15e siècles, et conserve encore cinq portes en arc brisé (Porte Est, Porte du Clocher, Porte de l’Eglise, Porte du Marché, Porte Saint-Jacques). Il a perdu la majorité de ses tours, et les défenses qui ont éventuellement couronné la muraille médiévale (créneaux, merlons, mâchicoulis) ont…
A Ostabat-Asme, convergeaient trois des quatre routes principales du pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle. Le prieuré d’Harambels, qui participait activement à l’accueil des pèlerins, est mentionné dès 1059. La chapelle Saint-Nicolas est un petit édifice rustique, simple salle rectangulaire de treize mètres de long sur neuf de large. Le tympan de son portail est gravé…
Le choeur de l’église paraît avoir été établi pour un monument aux proportions assez petites. Ce choeur se termine par un chevet semi-hexagonal. Les bas-côtés sont terminés, au nord et au sud, par des chapelles qui pourraient avoir constitué les bras du transept dans le plan primitif. Les profils des nervures, les chapiteaux, les bases…
Bâtiment rectangulaire érigé aux 13e-14e siècles, remanié au 15e ou début 16e par l’adjonction d’une tourelle d’escalier et le percement de fenêtres à meneaux. L’accès au rez-de-chaussée, local à usage de dépôt sans communication avec les étages, se faisait par deux grandes portes sous arc brisé. Une tourelle d’angle polygonale renfermant un escalier en vis,…
L’ensemble a été construit au 13e ou au 14e siècle. La grande arche était autrefois défendue par deux tours dont une seule subsiste. Le couronnement de cette dernière, qui manquait déjà en 1589, a été reconstitué vers 1865, avec une couverture moins élancée qui figure sur d’anciens documents[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère…
Château édifié à partir de 1242 par le vicomte de Béarn (tour de Moncade). Gaston Phébus le fait remanier entre 1368 et 1375 par l’architecte Sicard de Lordat, ajoutant deux étages au donjon. Pendant les guerres de Religion, les troupes de Montgomery occupèrent le château dont l’intérieur était déjà délabré sous Jeanne d’Albret. Château dépecé…
Les fenêtres ogivales permettent de penser que la tour remonte au 13e siècle. De chaque côté de la fenêtre du deuxième étage se trouvent des meurtrières jumelles en forme de croix oblongue. Selon une tradition ancienne, cette tour aurait été construite à l’époque et en mémoire des croisades, mais son architecture en reporte la date…
Edifice du 13e siècle s’ouvrant par une porte du 14e[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture. References[+] ↑1 data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture
