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commune française, préfecture du département d'Eure-et-Loir
Chartres est une commune française, préfecture du département d'Eure-et-Loir, dans la région Centre-Val de Loire. La ville est à environ quatre-vingt-dix kilomètres de Paris (centre). Au recensement de 2016, la commune compte 38 752 habitants. En 2015, la communauté d'agglomération de Chartres compte 136 373 habitants et l'aire urbaine de Chartres compte quant à elle 146 986 habitants. Il s'agit de la première ville du département d'Eure-et-Loir et la sixième de la région Centre-Val de Loire derrière Tours, Orléans (la capitale régionale), Bourges, Blois et Châteauroux. La ville tient son nom de l'ancien peuple gaulois des Carnutes dont elle était le chef lieu et dont César mentionne que c'est dans leur cité que chaque année se réunissaient les druides de toutes les Gaules, au milieu d'une vaste forêt. De capitale des Carnutes, Chartres est devenue sous le Bas-Empire un diocèse dont la liste des évêques débute au IVe siècle et dont l'étendue était au XVIIe siècle la plus considérable de France puisqu'elle comprenait une partie du Gâtinais, la Beauce, une partie de la Sologne, le Blésois et Vendômois, le Dunois, le Perche et sa partie voisine de la Normandie, le Drouais, le Thymerais, le Mantois, le Pincerais (pays de Poissy) et le Hurepoix. Son église cathédrale a été le siège de plusieurs conciles et reste le lieu d'un pèlerinage annuel. La ville a été en partie détruite le 26 mai 1944 par les bombardements anglo-américains.

Maison

Les quatre lucarnes de type compagnonnique de cette maison forment un ensemble intéressant par les variantes qu’elles déclinent : lucarne à capucine à deux ou trois empanons et à croisillons losangés, guitarde. Elles montrent une cohérence entre elles, mais attestent également d’une tendance chartraine (ou en tous cas représentée dans ce quartier de Chartres par…

Hôtel des Postes

Cet Hôtel des Postes a été édifié de 1923 à 1928 dans le style médiéval, par l’architecte Raoul Brandon. Seules les façades et les toitures ont conservé leur aspect initial. Le corps principal abrite la salle de tri, flanquée au nord-est de l’escalier principal à rampe circulaire compris dans un bâtiment de plan polygonal surmonté…

Maison Picassiette, actuellement musée Picassiette

Raymond Isidore (1900-1964) , travailleur dans une fonderie puis fossoyeur municipal, achète le terrain à la fin des années 1920. De 1928 jusqu’aux années 1960, il construit et décore sa maison et son jardin, utilisant des débris de vaisselle et des fragments de porcelaine, de faïence et de verre. L’ensemble – maison d’habitation, chapelle, logement…

Maison

Maison achetée en 1775 par Marie-Dufresne, officier municipal, qui y fait réaliser, dans un petit salon, les quatre peintures murales intégrées dans sun décor lambrissé. Ces peintures représentent des scènes populaires de l’époque révolutionnaire : la prise de la Bastille ; l’arrivée du roi, de la reine et du dauphin à l’hôtel de ville de…

Moulin Saint-Père

Le moulin à aubes et ses dépendances, en partie montées sur pilotis à l’aspect d’un barrage, sont accolés au pont Saint-Père. Le mécanisme ne fonctionne plus. Par contre, les meules, arbres de transmission, courroies pourraient refonctionner après restauration. De 1459 à 1791, le moulin appartient à l’abbaye de Saint-Père[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du…

Pont Saint-Hilaire

Ce pont a conservé, dans son ensemble, sa physionomie primitive. Il présente un dos d’âne et se compose de trois arches en segments de cercle. Les deux piles du côté Est sont flanquées de contreforts plats, terminés à leur sommet par trois assises de pierre en retrait l’une sur l’autre, avec arêtes abattues en chanfrein.…

Théâtre municipal

Bâtiment réalisé par l’architecte Piebourg selon le principe du théâtre à l’ialienne sur plan rectangulaire. Un emmarchement mène au hall d’entrée avec plafond supporté par des colonnes. Les différents niveaux de balcons de la salle, et le foyer situé au-dessus du hall, sont desservis par des couloirs de circulation et escaliers à gauche et à…

Maison dite Maison de la Voûte, ancien grenier à sel

Intéressant vestige de l’architecture domestique des 13e et 14e siècle. Le sol primitif se trouve à plus de quatre mètres au-dessous de la chaussée actuelle, enterrant une partie de la façade. La façade sur rue est surmontée de deux hauts pignons jumelés, bordés d’un rampant de pierre sculptée. La salle inférieure est voûtée en voûtes…