Hôtel de Puymaurin
Rampe réalisée en 1770 par Joseph Bosc[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture. References[+] ↑1 data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture
Rampe réalisée en 1770 par Joseph Bosc[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture. References[+] ↑1 data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture
Sylvestre-Jean-François de Roux, marquis de Puivert et président du parlement de Toulouse, se rend propriétaire de plusieurs maisons contiguës rue Bouquières, au milieu du 18e siècle. Sur cette parcelle, il fait construire son hôtel par l’architecte Labat de Savignac, disciple de Jacques-François Blondel. Les différents occupants (dont le maréchal Niel en 1859) n’auront que peu…
L’hôtel fut édifié par Pierre de Réqui, capitoul en 1656-1657. L’édifice s’ouvre par un portail du 17e siècle, dont les deux consoles sont ornées de têtes d’hommes encadrant l’arcade. Au troisième étage, intéressantes fenêtres[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture. References[+] ↑1 data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de…
Edifice sans doute construit par Bernard Davasse de Virvin ou Virbent, capitoul en 1763. Au premier étage, la façade est ornée de cinq balcons en fer forgé de style Louis XV. Les dalles sont supportées par des culots en forme de fleuron soutenant des guirlandes. Chaque balcon comprend, comme motif principal, trois vases de tôle…
L’édifice fut élevé au début du 16e siècle, à l’emplacement de dix petites maisons, par Jacques Rivière, conseiller au Parlement (1516-1548). L’hôtel conserve une tour en briques, couronnée de mâchicoulis et percée d’une porte et de trois fenêtres en pierre. Au-dessus de la porte, l’écusson martelé est soutenu par deux lions mutilés. La margelle du…
Au 16e siècle, le terrain était occupé par huit immeubles. En 1593, tous les immeubles furent réunis par messire Christophe de Lestang, évêque de Lodève, qui fit construire l’hôtel actuel. La façade sur la rue s’ouvre par un grand portail du 18e, avec alternance de brique et de pierre créant des bossages. Des pilastres doriques…
Les dispositions des maisons médiévales se poursuivent à la Renaissance, avec un corps de logis sur rue séparé d’un autre sur cour intérieure. Des passages couverts unissaient les deux bâtiments, devenant peu à peu des galeries. Celles de l’hôtel édifié par Guillaume de la Mammye, conseiller au Parlement de 1528 à 1566, se développent en…
L’hôtel a sans doute été édifié pendant la vie parlementaire de Jehan de Mausencal. La tour de l’hôtel est l’une des plus hautes de la ville (30m). Dans la cour, les façades sont couronnées d’arcatures rappelant les mâchicoulis, et s’éclairent par des fenêtres en colonnettes entourées de cadres à crossettes. La tour y prend son…
En 1620, l’emplacement est vendu à Jean Marvéjol qui fit construire l’hôtel actuel. La façade de briques rouges s’ouvre au rez-de-chaussée par une porte cintrée en pierre de taille et une arcade de boutique en plein cintre. A l’intérieur, la disposition générale est encore celle du Moyen-Age. Le corridor d’entrée conduit dans une cour qui…