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Eglise Notre-Dame-de-la-Daurade, Eglise datant du 18e siècle 2e moitié se situant à Toulouse (31) dans la région Midi-Pyrénées. Actuellement propriété de la commune ; propriété d'une association cultuelle. classé MH ; 1994/12/30 : classé aux Monuments Historiques (1963).Vestiges archéologiques du 6e siècle. L’église primitive, dans laquelle se serait réfugiée Rigonde, fille de Chilpéric, en 584, aurait reçu le nom de Santa Maria Deaurata en raison de l’ensemble de mosaïques sur fond d’or qui décoraient les parois du décagone originel. L’ensemble, décrit au 17e siècle par le mauriste Odon de la Mothe, a été détruit en 1761. A l’époque carolingienne, la Daurade est mentionnée comme “monasterium” bénédictin. En 1077, le monastère devient prieuré clunisien rattaché à Moissac. L’édifice est alors complété par une nef dont l’abside occupe la rotonde initiale, et un cloître sur le côté sud. Au cours du 17e siècle, la congrégation de Saint-Maur s’y installe et relève les bâtiments monastiques. Les pemiers plans de la nouvelle église sont établis par l’architecte Franque en 1764. Les travaux interrompus sont repris en 1773 avec un nouvel architecte, Philippe Hardy. Nouvelle reprise des travaux sous Napoléon, puis consécration de l’église en 1838. En 1884, construction de la colonnade et du fronton. Décors peints de Bénézet. La basilique reprent un plan en croix latine avec un choeur profond et des croisillons de transept semi-circulaires. En élévation, l’édifice utilise le principe de l’arcature séparée par de lourds piliers carrés soulignés de pilastres monumentaux à ordre corinthien. A la croisée s’élève une voûte d’arêtes en coupole. La voûte du choeur forme demi-coupole[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture.
References
↑1 | data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture |
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