Eglise édifiée au 12e siècle. De cette époque ne date plus que le choeur ouvrant sur un deuxième choeur et décoré de frises de billettes et de chapiteaux à volutes et feuillages. De la fin du 19e siècle datent le clocher et la partie occidentale de la nef. La commune a demandé la désaffectation de…
Cette église est historiquement liée au château de Martigné-Briand, édifié entre 1490 et 1514-1520 et fait partie intégrante du système défensif de la demeure. Il convient de mentionner lexistence de souterrains appareillés sous la cour du château, entre le logis et léglise. Le chevet de léglise, attenant au portail dentrée, est intégré au dispositif défensif.…
Les fortifications des îles Saint-Marcouf forment un ensemble exceptionnel représentatif des fortifications et de lévolution de larchitecture militaire du Premier Empir[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture. References[+] ↑1 data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture
La source primitive est connue des romains. On l’appelle Fontfort. Elle est achetée par un courtier en soieries, Auguste Saturnin Badoit qui devient fermier de la source en 1837. Avec la mode du thermalisme, Auguste Badoit s’oriente vers la distribution d’eau en bouteille. Le bâtiment de l’entreprise est édifiée en 1868 par Hugues Batillat (1816-1878).…
Cet ouvrage fut conçu selon un projet élaboré par lingénieur Heurtault et comprenant deux lots : la maçonnerie et le tablier. Le pont fut ouvert à la circulation en mars 1883. La technique des ponts suspendus a constitué, en son temps, une innovation, permettant un large franchissement peu sensible aux variations du lit. Toutefois, ce mode…
Ce pont, conçu sur les bases dun projet de lingénieur Jollois à la demande du préfet en 1863, figure parmi les quatre ouvrages de ce type subsistant en Haute-Loire. Les premiers ponts suspendus ont été réalisés à partir de 1818, en Angleterre. Celui de Saint-Ilpize fait partie de cette troisième génération utilisant la technique des…
La demeure de François-Pierre Leglas-Maurice (1821-1914) a conservé un décor intérieur menuisé au niveau de son vestibule ainsi que trois pièces complètes de style néo-Renaissance et néo-Louis XV qui témoignent du savoir-faire et des activités de cet industriel nantais du meuble au 19e siècle. L’édifice est répertorié sur le PLU au titre du patrimoine nantais[1]data.culture.gouv.fr…
L’atelier de la tournerie est aménagé dans la partie nord d’une ferme antérieure à 1830. Elle est acquise par Raymond Marichy, tourneur sur bois en 1932. L’atelier n’a pas subi de modifications depuis cette date. Quatre-vingt-dix-sept usines de tournerie dans le Jura ont été étudiées par le Service régional de l’Inventaire, aucune n’est acutellement protégée[1]data.culture.gouv.fr…