L’ancien décor de marbre du choeur de l’église Saint-Pierre-le-marché, a été remonté dans le jardin de la maison sise au n°14 de la rue Voltaire. Cette propriété occupe un espace de terrain qui appartenait, avant la Révolution, au grand jardin du couvent des religieuses de Saint-Laurent. Cette parcelle fut acquise en 1869 par le peintre…
Immeuble complètement reconstruit dans la seconde moitié du 18e siècle, adoptant le plan en U entre cour et jardin des grands hôtels rochelais qui sont réédifiés à cette époque dans la partie occidentale de la ville. Une grande partie des ailes latérales, servant essentiellement de magasins, a été dissociée du corps principal d’habitation. Le corps…
Hôtel particulier construit vers 1762-1765 par l’architecte Viguier pour Ayrolle des Angles, maître de camp de cavalerie sous Louis XV. Façade à sept travées marquée par un léger avant-corps doté d’un bel ouvrage de stéréotomie. Escalier à jour central avec décor de stuc et rampe en fer forgé. Pièces ornées de boiseries et de stucs.…
Ancienne église paroissiale, elle est désaffectée lors du rattachement à la commune d’Auquainville, en 1831, et alors utilisée comme chapelle funéraire par la famille de Custine. Le grand remplage bouché du choeur à chevet plat atteste une campagne de construction du bas Moyen-Age. Il s’agit d’un édifice à nef unique et clocher assis sur le…
Le domaine comprend deux entités : une maison de maître du 18e siècle, transformée et complétée au 19e ; un domaine agricole comprenant prairie, pâturages, terres arables, bois, et 150 hectares de montagne d’estive. Cet ensemble présente un intérêt ethnologique et historique pour l’histoire de l’Aubrac[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la…
Ce fort contrôlait l’accès nord de la ville. Il fait partie de l’ensemble des fortifications prévues par Vauban après l’invasion des troupes du duc de Savoie, en 1692. A l’origine fort Bifeuil, le fort Dauphin est bâti à partir de 1724 pour servir de bouclier au fort des Têtes. Il reçoit son nom en 1729,…
Fief connu à partir du 14e siècle. Le château, construit probablement au cours du 15e siècle, appartient à la typologie des hautes tours donjons quadrangulaires, flanquées d’une tourelle contenant un escalier à vis et surmontées d’un couronnement défensif autour d’un chemin de ronde. Vers 1850, travaux de restauration destinés à le rendre habitable (toitures, percement…
A la place d’une maison forte médiévale dont il reste probablement une tour comprise dans les communs, une maison de plaisance a été bâtie au 18e siècle. Conçue symétriquement et presque à l’image du bâtiment de communs plus ancien situé de l’autre côté de la cour, elle s’en différencie par sa toiture à combles brisés…
Les maisons de source sont des édifices hydrauliques construits à la remontée d’eaux naturelles. A Soissons, il s’agissait d’un réseau hydraulique monastique qui servait entre autres à alimenter l’abbaye Saint-Jean-des-Vignes. L’une des maisons peut être datée du 13e siècle, comprenant un système pouvant capter cinq sources. Une deuxième maison, datée de 1772, comprend deux chambres…
Sanatorium dont les pavillons de soin ont été édifiés dans le parc, reconverti en hôpital aujourd’hui, ce domaine a gardé, après cette conversion de l’Entre-Deux-Guerres, les façades et toitures du château, l’escalier principal du 18e siècle, les grilles d’entrée, la pelouse arrière entourée d’arbres, vestige d’un parc conçu par le paysagiste Jean-Marie Morel. L’architecture du…