La porte de cette église mêle gothique et Renaissance[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture. References[+] ↑1 data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture
D’une base moulurée de trois tores et deux scoties, une colonne torse émerge d’une couronne de feuillages. Les canelures à listels qui la décorent épousent sa forme en spirale et sont rudentées jusqu’au tiers environ de la hauteur du fût. Elle se termine par un chapiteau corinthien sur lequel est érigée la croix pattée dont…
L’église existait déjà en 653. L’édifice détruit en 729 fut restauré en 778. A nouveau démoli par les Normands en 848, il fut rétabli en 902 par Guillaume le Bon. Le portique extérieur est la partie la plus ancienne et peu remonter au 11e siècle. La porte principale se compose de cinq grandes arcades. De…
Le fût de la croix seul est ancien. La croix proprement dite a été refaite au début du 20e siècle, reproduction fidèle de l’ancienne ou inspirée d’une croix de l’époque. La croix est désignée dans un document de 1518. Une plinthe carrée surmontée d’un socle de même forme passant à l’octogone, sert de base au…
Le fût est décoré de contreforts à pinacles et d’effigies en bas-relief. La croix proprement dite paraît rapportée[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture. References[+] ↑1 data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture
Fût polygonal dressé sur un socle quadrangulaire. Sur la croix, deux clefs croisées sur un côté et un Christ sur l’autre[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture. References[+] ↑1 data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture