Au 12e siècle, les vicomtes de Lautrec avaient bâti un château sous lequel se développa le village. Brûlées par les bandes du Prince Noir en 1355, les fortifications furent relevées en 1356. Cette petite tour n’est qu’une partie de l’ancienne porte de ville fortifiée, et est bâtie en moellons et couronnée d’une poivrière en pierre.…
Les moines d’Aubrac possédaient à Bonnefon des terres et des greniers qui étaient souvent pillés par des brigands. Pour les défendre, ils construisirent au 15e siècle cette tour. L’édifice comporte un rez-de-chaussée et quatre étages reliés par un escalier hélicoïdal. Le système défensif se compose de meurtrières et glacis en partie basse[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de…
La ville a dû être fortifiée de 1435 à 1440. La ligne de remparts, aujourd’hui démolie, était flanquée d’une demi-douzaine de tours circulaires. Aux deux extrémités de la ville, une tour carrée servait d’entrée. La tour concernée a été découronnée de ses mâchicoulis dont il reste encore les deux rangs inférieurs des corbeaux. Le premier…
La tour de Colombine, de la fin du 12e ou du début du 13e siècle, appartient à la famille des tours seigneuriales carrées dont seuls quelques exemplaires bien conservés subsistent en Auvergne[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture. References[+] ↑1 data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture
En 1443, Pierre de Beaufort-Turenne autorisa son vassal, Louis de Charpentier, à construire une tour avec toutes les défenses nécessaires pour résister aux attaques des pillards et des routiers. Condé s’y rendit pendant la Fronde, en 1752, alors qu’il venait d’Agen et se rendait au château de Châtillon-sur-Loing. Cette ancienne construction féodale, conservée jusqu’au niveau…
La façade s’ouvre, au rez-de-chaussée, par une baie de boutique à l’arc en anse de panier aux étaux en saillie de part et d’autre de l’entrée au seuil surélevé. La façade en retour, perpendiculaire à la précédente, est formée de deux parties séparées par une tourelle à pans coupés. La façade à gauche de la…
De plan rectangulaire, la tour était divisée en trois étages par des planchers établis sur poutres, disparus. La tour était cernée d’une enceinte dont ne subsistent que les parties basses. L’ouverture pratiquée au rez-de-chaussée ne correspond pas à une ouverture ancienne, ce rez-de-chaussée étant alors sans accès direct. Une seule fenêtre l’éclairait, sous un arc…
Cette maison est l’un des derniers exemples typiques d’architecture vernaculaire. Elle représente aussi une forme d’habitat rural minimal courante jusqu’au milieu du 19e siècle, puis abandonnée peu à peu, dans laquelle le logis est réduit à une pièce, accessible par une porte, éclairée par une minuscule fenêtre, accompagnée d’un four à pain, d’une soue à…
Construction féodale, présentant l’aspect d’une enceinte fortifiée. L’origine de ce plan pourrait provenir d’une ancienne motte féodale fossoyée, entourée de palissades qui furent, ultérieurement, remplacées par un mur. Puis des constructions habitables seraient venues s’appuyer sur l’enceinte[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture. References[+] ↑1 data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes…