Ce château présente deux corps de bâtiment disposés en angle droit, de volumes différents. Il devait s’incrire dans un ensemble plus important et plus ancien. Le rez-de-chaussée est occupé par des caves dont une est voûtée. A proximité se trouve un pigeonnier cylindrique dépendant du château[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la…
Le château se compose d’un corps de bâtiment principal et de deux ailes formant, avec l’élément central, deux angles optus. Le plan ordonné et régulier permet de penser que l’ensemble du château date du 17e siècle. Certains éléments cependant sont plus anciens : la tour carrée qui flanque le château au nord-est doit dater du…
L’arbre est constitué par un fût octogonal à base carrée, avec amortissement aux angles. Cet arbre se compose de trois pierres réunies entre elles par des goujons. Le fût repose sur un socle en forme de tronc de pyramide octogonale avec changement de plan et amortissements à la base. Au centre de la croix, dans…
Construction basse très simple, établie sur plan rectangulaire ne comportant qu’un rez-de-chaussée avec soubassement en maçonnerie et couverture en laves. Des piles carrées en maçonnerie surmontent le mur bahut et soutiennent la charpente. Les ouverturess circulaires des mesures à grain sont creusées dans la dalle de pierre qui constitue le revêtement du mur de clôture…
La construction, ou du moins l’achèvement du château actuel remonte à la fin du 14e ou au début du 15e siècle. C’est un édifice à deux corps de bâtiments, flanqué d’une tour. Il offre la particularité d’avoir tous ses angles arrondis. Sous la toiture, le système de défense à mâchicoulis est assez complet. Au nord…
Le château remonte au 11e siècle. De cette époque subsiste le donjon qui ne paraît pas avoir été remanié. Il fut brûlé à trois reprises. La légende le dit ancienne commanderie de Malte, ce qui est faux, mais sans doute un des seigneurs fut-il chevalier de Malte. Situé sur un promontoire dominant le Lot, l’édifice…
La porte de la tour est encadrée d’une mouluration torique formant accolade sur le linteau. A mi hauteur, la tour s’accoste d’une tourelle en poivrière en encorbellement[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture. References[+] ↑1 data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture
