124 Ecole

institution dédiée à l’instruction, où l’on enseigne le savoir
Une école est un établissement où l'on accueille des individus appelés « écoliers » ou élèves afin que des professeurs leur dispensent un enseignement de façon collective. Le mot école vient du latin schola, signifiant « loisir consacré à l'étude », lui-même provenant du grec ancien σχολή / skholế, « le loisir », lequel constituait un idéal souvent exprimé par les philosophes et une catégorie socialement valorisée opposée à la sphère des tâches productives. En étudiant le rapport des bâtiments scolaires à leur environnement, le géographe Pascal Clerc distingue quatre modèles successifs d'écoles : le monastère, l'agora, la forteresse, le nœud d'échanges.

Tour du moulin de l’Ecole

Cet édifice reste une des rares tours résidences qui caractérisaient le paysage urbain de Pernes à l’époque médiévale. La sophistication de la modénature des ouvertures primitives, la qualité de l’appareil en pierre de taille et de sa mise en oeuvre ainsi que la distribution intérieure confèrent à la tour un caractère résidentiel d’apparat. Son histoire…

Ancienne école de dessin ou ancienne école des Beaux-Arts de la ville de Saint-Etienne

L’école, inaugurée en 1859, se présente sous la forme d’un bâtiment rectangulaire, avec un soubassement, deux niveaux, dont un étage carré, ainsi que des combles. Deux ailes en retour s’avancent de part et d’autre en aplomb du jardin. La façade principale comporte sept travées de baies cintrées, en rez-de-chaussée, et de baies rectangulaires pour l’étage.…

Ecole d’Agriculture de Rennes, aujourd’hui Agrocampus Ouest

La construction de l’école est confiée, en 1896, à l’architecte Jean-Marie Laloy qui traduit avec fidélité la vocation régionale, agricole et institutionnelle de l’établissement. Le corps central se distingue, ainsi, par sa monumentalité et son équilibre. L’implantation de l’Agrocampus entre le centre-ville de Rennes et les voies d’accès vers Brest et Saint-Brieuc en fait, aujourd’hui,…

Ancienne école de Gendarmerie (ESOG), aussi nommée Caserne Lamarque

Les casernes de Libourne ont joué un rôle précurseur dans l’essor du style néo-classique qui se développa dans la deuxième moitié du 18ème siècle. Cet ensemble est constitué de trois bâtiments rectangulaires, construits de 1766 à 1820 autour d’une cour précédée de deux pavillons carrés entourés d’une grille. Bien que certains intérieurs aient été rémaniés,…

Ancienne école de filles de la cité Nouméa de la Compagnie des Mines de Drocourt, actuel centre d’activités culturelles et de loisirs Marie-Curie

La compagnie des Mines de Drocourt engagea, après la Seconde guerre mondiale, les travaux de reconstruction de la cité de la fosse n°2, dite Nouméa. Les architectes Duval et Gonse seront chargés d’agrandir l’école des filles, édifice antérieur datant de la fin du 19ème siècle, et de bâtir des annexes paroissiales encadrant l’église Saint-Louis, elle-même…

Couvent des Clarisses et Ecole Sainte-Claire

En 1873, l’industriel tournaisien Henri Desclée entreprend l’aménagement du couvent de Roubaix dont le dessin est confié à l’architecte belge Jean-Baptiste Béthune. Le 4 juillet 1876, l’ensemble du couvent avec la chapelle, dédiée à la Sainte-Trinité, est béni et six moniales tournaisiennes s’y installent. En 1877, une école de filles est annexée au couvent, avec…

Ecoles maternelles et primaire Louis Pasteur et ancien dispensaire de la cité n° 11 de la compagnie des mines de Lens, situés respectivement rue du Saint-Esprit, square Henri-Noguères et avenue de la Fosse 11

Le forage en 1891 des puits 11 et 12 à l’écart de toute agglomération obligea la compagnie à prévoir la construction de logements. La Cité Saint-Pierre fut construite à proximité de la fosse à partir de 1894. Il s’agissait d’une série de 300 maisons groupées par deux au milieu d’un vaste jardin. En 1899, une…

Groupe scolaire Jean Macé, ancienne habitation du directeur des écoles et ancien patronage de la cité n° 12 de la compagnie des mines de Lens dite Saint-Edouard, situés parvis de l’église Saint-Edouard et grand chemin de Loos de part et d’autre de l’église Saint-Edouard

A la fin du 19e siècle, suite à l’augmentation du nombre de fosses exploitées, la population passa de 3000 à 20000 habitants. La position de la nouvelle fosse, à l’écart de l’agglomération, obligea la compagnie à prévoir la construction d’un grand nombre de logements. En 1896, un plan d’ensemble de la cité fut réalisé par…