485 19e siècle 2e moitié

Pont suspendu de la rivière de l’Est

L’actuel pont suspendu de la rivière de l’Est n’est plus utilisé depuis 1979, ne répondant plus aux normes de sécurité. La circulation des véhicules s’effectue sur le pont en béton précontraint à l’amont, le pont suspendu étant réservé aux piétons. En 1991-1992, une vaste opération de réhabilitation est conduite pour redonner à l’ouvrage son aspect…

Hôtel Magnus

Edifié entre 1871 et 1874, la propriété se compose d’un logis, d’une cour et d’une dépendance domestique. Le logis, de plan rectangulaire, est construit en maçonnerie, son élévation antérieure est entièrement appareillée en grès gris, tandis que l’élévation postérieure est enduite. Il comporte deux caves, un étage carré ainsi qu’un étage de comble, l’ensemble étant…

Eglise Saint-Jean-Baptiste

Cette église fut complètement reconstruite, de 1879 à 1883, par l’architecte Emile Doyère. A l’intérieur, les tribunes à deux niveaux de 1859 sont toujours en place. Un décor peint, en 1895, par Daniel Saubès, se déploie sur le cul-du-four du choeur. Quant aux vitraux, ils sont l’oeuvre du maître-verrier Champigneule, en 1882[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de…

Eglise Saint-Vincent-Diacre

Il s’agit d’un édifice reconstruit en 1598, puis complètement repris de 1867 à 1874. En 1902, un faux transept vient agrandir l’ensemble. L’intérieur se compose de trois niveaux de tribunes datant de 1874. Les verrières ont été réalisées, en 1881, par Jean Mauméjean[1]data.culture.gouv.fr la plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture. References[+] ↑1…

Eglise Sainte-Elisabeth de Hongrie

L’église est construite dans le contexte d’expansion économique et démographique de la ville, dans la deuxième moitié du 19ème siècle. Bâtie en brique, elle est ouverte au culte en 1863. Son esthétique mêle les références à l’art du passé : roman, gothique, byzantin. Entièrement dotée de son mobilier et décorée de vitraux d’une belle facture, l’église…

Château de la Jumellière

Cette propriété, dessinée sous le Second Empire pour Armand-Urbain, comte de Maillé, comprend un édifice élevé par l’architecte Henri Parent, entre 1858 et 1862, et agrandi par une extension vers 1874. Le domaine fut également complété par des dépendances (écuries, serres, cascade de rocailles, château d’eau, maison du jardinier, potager). Enfin, un parc paysager fut…